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#SantéMentaleGC : Vous n'êtes pas seul (WMT2-V02)

Description

Cette vidéo présente des membres du Bureau des conférenciers fédéraux pour des milieux de travail sains, qui discutent des avantages de parler ouvertement de la santé mentale et de l'importance de demander de l'aide.

Durée : 00:03:07
Publié : 23 octobre 2019
Type : Vidéo


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#SantéMentaleGC : Vous n'êtes pas seul

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Transcription : #SantéMentaleGC : Vous n'êtes pas seul

[À l'écran : #SantéMentaleGC : Vous n'êtes pas seul]

Jessica Ward-King, Agente libre, Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada : Je dirais que ma vie s'est grandement améliorée quand j'ai commencé à parler de ce que je vivais et de ce que je ressentais. Quand j'ai commencé à me parler à moi-même, à parler à ma famille… Je vous assure qu'au bout du compte, la parole est plus utile que le silence.

Joshua Alcorn, Gardien de la SECOM/Coordonnateur de la sécurité, Transports Canada : Il y a toujours quelqu'un dans la salle qui souffre de quelque chose, puis qu'il a peut-être de la misère à demander de l'aide, mais le programme d'aide aux employés c'était phénoménal. Il y avait des moments que je n'étais pas trop sûr de ce qu'il se passait, je me sentais d'une certaine façon puis je me sentais pas bien. Je questionnais, est ce que c'est juste moi qui invente des choses ou est-ce que c'est vraiment quelque chose fondamental dans moi qui n'est pas correct. Alors, c'est sûr qu'en prenant le téléphone et en appelant le programme d'aide aux employés, j'ai pu avoir de l'information puis de l'aide à découvrir qu'est-ce qu'il se passait.

Les Escobar, Conseiller principal de programme, Immigration, Réfugiés and Citoyenneté Canada : Je me souviens d'un samedi matin où j'avais fini de travailler à 8 h. Je suis rentré à la maison, et tout ce que mes enfants voulaient, c'était de donner un câlin à Papa. J'étais tellement désorienté que je n'ai pas compris leur désir de me donner un câlin. Je les trouvais tout simplement dérangeants. L'affection est là, mais elle n'est pas un sens unique. Le message que je veux donner et que je commence à transmettre, c'est que vous n'êtes pas seuls. Il y a des personnes autour de vous, même si vous pensez le contraire.

SanDee Vandal, Gestionnaire, Emploi et Développement social Canada : Je trouve ça triste que les gens souffrent en silence, parce qu'il y a tellement d'emphase dans les médias sur la santé mentale, puis il faut qu'on commence à discuter de ça. C'est partout alentour de nous puis il faut enlever le stigma attaché à ça.

Neida Santini, Directrice adjointe, Immigration, Réfugiés and Citoyenneté : Alors si vous en arrachez et que vous n'êtes pas allés chercher de l'aide parce que vous avez honte ou que vous ne savez pas quoi faire. Ou si vous étiez simplement comme moi, au début, alors que je ne croyais pas avoir de problème. Si vous êtes dans le déni, je n'ai que ceci à vous dire  « Il n'est jamais trop tard. Il n'y a pas de date limite pour commencer à aller mieux. » Alors, n'abandonnez pas. Restez là, continuez. Faites vos exercices si vous faites de la thérapie cognitivo-comportementale. Concentrez-vous sur votre rétablissement, il ne s'agit pas d'être égoïste, c'est important de s'occuper de soi. Quand vous en serez sortis, vous serez ravi d'avoir pris du temps pour vous.

[À l'écran  La santé mentale commence ici.]

Canada.ca/SanteMentaleGC

[Mot-symbole « Canada »]

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